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Poulet aux épices de la vilaine grand mère

Quand je publie une recette, j’ai quelquefois des commentaires. Dernièrement Brigitte a trouvé mon idée de « croque- monsieur boeuf » un peu bizarre… Alors je suis allée sur le blog de Brigitte pour découvrir qu’elle était libraire et parlait de livres qu’elle aime. Après un plongeon de bonheur dans ses impressions sur des livres que je n’avais pas lu, je suis tombée sur la recette du poulet aux épices de la vilaine grand mère :

Incroyable ! une phrase dans un livre et Brigitte nous concocte une recette ! c’est top chouette !
Je lui ai dit que j’allais tester son poulet et voila le résultat, allez y parce que c’est délicieux !
Je me demande juste pourquoi la grand-mère est vilaine… je vais lire le livre  » la vie des oiseaux » de Véronique Ovaldé et j’espère trouver la réponse.

Pour 4 personnes :
– 4 cuisses de poulet.
– 2 ou 3 patates douces.
– Du gingembre, coriandre, cumin, curcuma et du piment rouge en poudre.
– Du sucre en poudre, du sel.
– 5 cuillères à soupe d’huile.

Poulet-de-la-vilaine-cruDans un bol mélangez une cuillère à café rase de gingembre, coriandre, cumin, curcuma et une pointe de piment rouge en poudre, du sel et une grosse cuillère à café de sucre en poudre. Versez cinq cuillères à soupe d’huile et mélangez.

Badigeonnez les cuisses de poulet carré de boeuf de cette mixture, et placez les dans un grand plat qui va au four. Versez le reste de sauce dessus et couvrez d’un film alimentaire avant de le mettre au frigo. Laissez mariner 7 ou 8 heures puis préchauffez le four à 180°/200°. Épluchez deux ou trois patates douces et coupez les en gros morceaux pour les placer autour du poulet. Versez un fond d’eau dans le plat, ajoutez une badiane ( je n’en avais pas ) et enfournez pour 45 minutes. En milieu de cuisson, ajoutez de l’eau et arrosez le poulet et les patates douces de sauce.
J’ai fait une petite semoule pour accompagner ces morceaux de poulets aux patates douces…
Un régal ! Merci Brigitte, je n’ai plus qu’à plonger dans la lecture de « la vie des oiseaux ». Les pauvres, ils n’ont déjà plus de pattes…