Qui dit que se coucher avec les poules veut dire tôt ? C’est peut être une expression, mais chez Cécile et Franck Schmitt, quand on réserve dans leur maison d’hôte, on dort… au poulailler !
Attention, c’est un poule (ailler) de luxe !
Les vacances sont loin, la fatigue de la rentrée se fait sentir ? Papa poule aimerait embarquer sa couvée prendre l’air ? mais ou ? Là ! En plein dans le Perche, à une heure trente de Paris, en Normandie.
La cabane en bois, construite dans leur jardin, a été conçue de façon tout à fait écologique. Une pièce avec un grand lit pour Papa et maman poule et une mezzanine pour la couvée de poussins. Pas de TV, pas d’Halogène qui pique les yeux, un chauffage à bois pour se réchauffer les plumes, des draps tout bio et des bougies pour passer une bonne soirée au coin des bûches.
Avec un énorme vrais poulailler juste à coté, des canards, des lapins et sûrement un rouge-gorge, des abeilles et des escargots, la maison de nos hôtes possède aussi un potager, des milliers de fleurs et plein d’arbres fruitiers !
Question petit déjeuner, vous serez à des années lumières du paquet de céréales plastifiées. Et comme Franck et Cécile savent bien qu’on dort comme un loir dans leur poulailler, ils proposent un brunch de compet’ qui réveille tous nos sens…
En fait, je me demande si la poule rousse du père castor n’a pas habité ce délicieux cabanon ! Vous vous souvenez de cette poulette qui invite sa copine la tourterelle ? Embarquée par le renard, elle évite de tomber dans la grande marmite parce qu’elle est très bonne couturière…
Cécile et Franck ont créé autour de leur maison un salon de thé, brocante et la possibilité de rencontrer nos hôtes autour d’ateliers de couture, de cuisine de dédicaces…
Je pense qu’un weekend « chez nous campagne » ne va pas suffire pour tout découvrir. Il parait que les visiteurs de cet été rêvent de profiter du poulailler autour d’un bon feu dans le poêle à bois, accompagné de tartines de pain perdu… Alors un conseil avisé : il va falloir penser à réserver !
Je file par le train, ils m’attendent à la gare !